Clash entre Rooney et un supporter de Liverpool sur Twitter

On se demandait quand ça arriverait et, ma foi, il aura tout de même fallu attendre un bon mois après l'arrivée de Wayne Rooney sur Twitter pour assister à un premier dérapage sur le compte de l'attaquant au fort tempérament. Il faut dire que le Wayne n'a pas que des admirateurs. Petit gars d'Everton jouant à Manchester United, il est particulièrement détesté par les supporters de Liverpool.

Hier, un supporter des Reds s'en est donc pris virtuellement à Wazza en l'insultant et en le menaçant. Vu mes carences en anglais des bas quartiers et en vocavulgaire shakespearien, je m'en remets à la traduction du site telefoot.fr pour vous conter cette expliquation pour le moins poétique :

@sam_oldham_LFC : Rooney, tu es une grosse pute, je vais te défoncer avec un club de golf et t'enterrer, gros lard !

@WayneRooney : Tu sais où je m'entraîne tous les jours, tu n'as qu'à venir... Amène ton club, fillette, je vais te faire mordre la poussière en moins de dix secondes chrono. Ne dis pas des choses que tu ne feras pas, moi j'attends !

Que ce soit sur le terrain ou sur la toile, notre numéro dix ne selaisse pas marcher sur les pieds. Visiblement refroidi par la réponse de Wayne, notre ami Sam a rapidement capitulé...

@sam_oldham_LFC : Je ne suis pas fou ! C'était une blague mec !

@WayneRooney : Des frimeurs qui deviennent fous et qui se calment ensuite...

Ayant décidé d'en savoir plus sur ce charmant garçon aimant le golf, j'ai voulu me connecter sur son profil, mais il avait disparu. Visiblement, pas pour aller rejoindre Rooney à Carrington, puisqu'aucune bagarre n'a été relatée aujourd'hui.

Le Roi du Tweet, Rio Ferdinand, devait évidemment y aller de son petit commentaire :

@rioferdy5 : Ces gros durs sur Twitter me font rire... Ils en font des tonnes mais ne balanceraient pas un grain de raisin lors d'une bataille de nourriture !! Hahahahaha j'adore !!

On appréciera le sens de la formule ! Et on compatira avec ce pauvre scouser, ça ne doit pas être facile de voir son ennemi juré dépasser son propre club au nombre de titres, quand ce dernier ne gagne plus rien depuis des années.